l'été est revenu et l'été est bien lourd
les pierres et les fleurs
leurs odeurs me surprennent par leur poids
je regarde le manque d'air
je regarde le ciel brûler dans la nuit vide
les éboueurs eux disputent déjà leur habituel contre-la-montre contre l'aube et les chiens débiles tandis qu'un vertige de probabilités s'empare de moi
tout ne peut qu'arriver non lorsque rien ne se produit ?
Ton genre de poésie justifie totalement le fait, de temps à autre, de faire halte par ici. Je vote blanc, la couleur de tes mots. Les lire today avec, en fond, cette autre couleur pirate, sonore, Chesnutt, ça le fait grave! Le kiss en passant!
RépondreSupprimerMerci Christine
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