le temps qui passe se fout clairement de ma gueule
une vie sans sens me disperse
mes idées préconçues me rendent idiot
anus des anges dans le ciel
j'ai beau être prévenu quand je trouve ce que je cherche
quand le monde me secoue
je suis tout de même surpris
je ne me savais pas si friable avant d'être heurté
l'herbe dans l'air est un alphabet pour mes poumons
il n'y a pas de magie juste une connection fertile avec la lumière infinie
le panorama je me le fais
les oiseaux les arbres les ombres
la couleur des ombres surtout qui me montrent ce qui a été et ce qui aurait pu être
désirs monstres qui errent entre tout et n'importe quoi
tant que j'ai de l'élan ma bête noire restera ma proie
(tant que j'ai de l'élan)
tank
tank
tank du bonheur auquel je ne tiens pas vraiment
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